Monmari travail Ă©galement et passes des journĂ©es qui me semblent parfois interminables et malgrĂ© cela je reste encore plus fatiguer que lui et mĂȘme quand je suis en repos Ă ne rien faire. A
Jai la sensation que tant qu'elles ne s'envolent pas il ne s'affole pas. Il dit que les hypos c'est pas important quand on est enceinte. Le but etant de ne pas faire d'hyper. Je culpabilise bcp Ă l'idĂ©e de devoir "demandĂ© un arrĂȘt de travail". Je vois mon diabĂ©to dans une 10zaine de jours et j'Ă©spĂšre pouvoir faire passer le message. J
Aujourdhui j'ai participé à la super rencontre chez Petityouoyou ! J'en avais parlé à mon mari il y a quelques jours
VocĂȘestĂĄ em: total club mon compte / annales bac s maths metropole 2016 / neil armstrong : biographie courte / mon mari me gĂąche ma grossesse. 04 jun 2022. mon mari me gĂąche ma grossesse. coĂ»t de la vie en israĂ«l. figure de style nekfeu
Cettequestion, vous l'adressez Ă votre mari pour partager lâexpĂ©rience de la grossesse, ses joies (les Ă©chographies) et ses dĂ©sagrĂ©ments (les nausĂ©es). Et il nâa pas lâair dâĂȘtre lĂ justement. "Les hommes ne fonctionnent pas comme les femmes dans lâexpression et la gestion des Ă©motions" Toutefois, vous nous donnez des pistes pour vous rĂ©pondre :
Vay Tiá»n Nhanh Chá» Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. Skip to content PRĂPARATIONS VIRTUELLES NAISSANCETRANSCENDER LA DOULEURPOSTNATAL OPTIMALSĂMINAIRESUNIVERS QUANTIK BLOGUEPODCASTINFOLETTREĂCOLE QUANTIKĂ MEMBREPRĂPARATIONS VIRTUELLES NAISSANCETRANSCENDER LA DOULEURPOSTNATAL OPTIMALSĂMINAIRESUNIVERS QUANTIK BLOGUEPODCASTINFOLETTREĂCOLE QUANTIKĂ MEMBRE Grossesse surprise Et si le moment Ă©tait juste parfait ? La grossesse surprise nâa ni Ăąge ni quinze ans, on nous dit quâon est trop jeune pour avoir un enfant et que ça va ruiner notre vie. Ă vingt ans, câest presque pareil. Tu nâas mĂȘme pas fini tes Ă©tudes ! » Ă trente ans, on met de lâavant la carriĂšre et on se dit quâon est trop endettĂ©s, quâon attend dâavoir une maison, et quand on lâa cette maison on se dit que ce sera mieux aprĂšs les rĂ©nos. Alors on se rĂ©veille Ă quarante ans et lĂ on nous lance Mais tu es bien trop vieille pour avoir des enfants ! »Y a-t-il seulement un bon moment pour avoir des enfants ? La rĂ©ponse est simple NON ! Le bon moment existe seulement dans lâidĂ©al imaginaire quâon sâen fait, et quand on persiste trop Ă lâattendre et bien on finit par ne jamais avoir dâ histoires de trentenaires avancĂ©s accomplis dans leur vie comme dans leur carriĂšre, qui se butent Ă lâinfertilitĂ© quand ils dĂ©cident dâavoir un enfant sont de plus en plus frĂ©quentes. Et quand au bout de nombreuses annĂ©es infructueuses et terriblement souffrantes en clinique de fertilitĂ©, on finit par entendre Madame, vos enfants il fallait les faire Ă vingt ans ! » On en vient Ă comprendre que les enfants, ça se fait Ă travers le chaos de la vie.[divider style=âcenteredâ] Jâai eu mes premiers enfants Ă vingt ans. JâĂ©tais pauvre et je nâavais mĂȘme pas de diplĂŽme. Au final, ils nâont jamais manquĂ© de rien et jâai bien rĂ©ussi ma vie. » â Julie, infirmiĂšre et mĂšre de trois enfants.[divider style=âcenteredâ] Jâai eu ma premiĂšre fille Ă 16 ans, elle vient dâavoir son diplĂŽme dâavocate. Je suis tellement fiĂšre dâelle ! » â Karine, naturopathe et mĂšre de 4 enfants.[divider style=âcenteredâ] Jâai eu trois enfants dans la vingtaine et mes jumeaux Ă quarante ans. Ă vingt ans, jâĂ©tais pauvre, mais jâavais plein dâĂ©nergie. Ă quarante ans, jâĂ©tais plus confortable certes, mais oh combien fatiguĂ©e ! » â Marie, agente de communication et mĂšre de cinq enfants.[divider style=âcenteredâ]La plupart des familles se sont construites Ă travers lâimperfection de la vie et câest parfait ainsi. Il nây a pas meilleur moteur pour la motivation de se construire un avenir quâun enfant qui que les familles qui ont trois, quatre ou cinq enfants bref cette espĂšce Ă©trange qui se multiplie tous les deux ans ont eu autant de bons moments pour procrĂ©er quâils ont eu dâenfants ? Certainement pas ! Pensez-vous que chacun dâeux Ă©tait prĂ©vu ? Encore premier enfant quand il est une surprise et quâon choisit de poursuivre la grossesse, il passe souvent assez bien et tout le monde fini par ĂȘtre contents. Le deuxiĂšme est logique puisque tout le monde sait que les enfants uniques sâennuient du moins, câest ce que la plupart disent Ă lâĂąge adulte. Le troisiĂšme, mĂȘme sâil est une preuve de courage aux yeux des familles avec deux enfants, il passe encore. En fait, trois enfants en 2018 câest le deux » des Baby Boomer dans les annĂ©es 80-90. Ă quatre enfants et plus lĂ par contre, vous nâĂȘtes plus braves, vous ĂȘtes fous !Dire quâil nây a pas moins de trois gĂ©nĂ©rations les femmes avaient encore huit, dix, douze enfants. Avant on reprochait aux femmes de ne pas en faire assez, maintenant on leur reproche dâen faire trop quand elles en ont plus que deux. Plus ça va, plus câest pareil. Toujours les mĂȘmes coupables !Bien sur la contraception ça existe et câest tant mieux, lâavortement aussi dâailleurs. Ce blogue est pro-choix, jâespĂšre que vous aviez compris. Or, une femme est fertile tous les mois pendant trente ans en moyenne. Sâimaginer quâon aura le contrĂŽle sur sa fertilitĂ© pendant chacune de ces centaines de cycles, câest ĂȘtre bien naĂŻf ! Des bĂ©bĂ©s surprises avec un stĂ©rilet, la pilule, le condom et mĂȘme aprĂšs une vasectomie, je ne compte mĂȘme plus combien jâen ai vu. Voulez-vous que je vous parle des bĂ©bĂ©s faits en dormant ? Câest peut-ĂȘtre mieux pas. Aussi bien parler de lâhistoire de JĂ©sus, Marie et Joseph tant quâĂ y ĂȘtre !Tout ça pour dire que les bĂ©bĂ©s quand ils veulent venir ils trouvent toute de sorte de chemins qui font quâon se rĂ©veille un bon matin en urinant sur un bĂąton qui crie sans hĂ©siter SURPRISE !!!Quand un enfant sâimpose comme une bombe » qui vient chambouler tous nos plans de vie, câest un choc bien lĂ©gitime. Dâabord le refus dây croire, puis le deuxiĂšme et troisiĂšme test de grossesse qui crient encore la mĂȘme vĂ©ritĂ©, pour finalement comprendre que câest bel et bien vrai, quâon attend un bĂ©bĂ© et quâon devra prendre une les sources, lâincidence des grossesses imprĂ©vues tourne autour de 30% Ă 50% Ă travers le monde. Chez nos voisins amĂ©ricains, il se situe autour de 50%. 1 Bien sĂ»r et heureusement, on a le choix, on peut avorter et rĂ©gler» la surprise dans une clinique dâavortement. Mais quand cette solution rĂ©sonne comme un faux-pas avec sa destinĂ©e, on se fait tranquillement Ă lâidĂ©e que la bombe » va peut-ĂȘtre changer notre vie Ă tout jamais, mais que le nouveau dĂ©cor Ă toutes les chances dâĂȘtre encore plus beau, dynamique et choc de la surprise ne sera pas moindre, peu importe la dĂ©cision de garder ou pas lâenfant. Dans les deux cas, lâhistoire est rĂ©elle. Si on avorte, il est vrai que la surprise sera vite derriĂšre, mais le deuil, le doute, la colĂšre, ou toutes autres Ă©motions de ce spectre peuvent quand mĂȘme ĂȘtre trĂšs prĂ©sents pendant plusieurs mois mĂȘmes annĂ©es suivant lâintervention. Alors que pour certaines lâavortement sera vĂ©cu comme une libĂ©ration et la meilleure dĂ©cision de leur vie, pour dâautres ce sera un drame au contraire on dĂ©cide de garder lâenfant surprise, cela ne veut pas dire que la joie suit dâemblĂ©e la dĂ©cision. Lâambivalence, le deuil des sacrifices imposĂ©s par la surprise, comme les impacts sur la carriĂšre ou les nombreuses abstinences quâimpose une grossesse alcool, sushis, sports extrĂȘmes, etc., de mĂȘme que la colĂšre contre son partenaire ou soi-mĂȘme, les doutes et les peurs, sont aussi des spectres dâĂ©motions possibles, et tout ceci est vous venez dâapprendre que vous ĂȘtes enceinte et que ce nâĂ©tait pas prĂ©vu, prenez le temps dâaccueillir cette nouvelle, et laissez-vous quelques jours, semaines sâil le faut, pour bien y rĂ©flĂ©chir. Parlez-en avec votre partenaire, vos proches et amis de confiance. Choisissez bien vos confidents et surtout, Ă©vitez ceux-lĂ que vous entendez dĂ©jĂ vous dire Tu vas te faire avorter au moins ? » ou encore Tu es certaine que tu vas ĂȘtre capable ? » La dĂ©cision vous revient Ă vous en premier et Ă©videmment Ă votre partenaire. AprĂšs tout, câest vous seuls qui allez Ă©lever cet enfant, ou dis vous en premier », parce que câest vous la femme qui allez porter ou pas cet enfant. Dans un cas comme dans lâautre, câest vous qui allez vivre lâavortement et vivre avec les souvenirs inscrits dans votre corps et votre coeur, ou encore, câest vous qui allez le porter, lâaccoucher, lâallaiter et le materner en proximitĂ© ce bĂ©bĂ©. Câest vous qui allez mettre de cĂŽtĂ© votre silhouette tout juste rĂ©cupĂ©rĂ©e du dernier, votre projet marathon prĂ©vu lâĂ©tĂ© prochain et vos projets de carriĂšre des deux prochaines toujours dit Ă mon homme quand jâĂ©tais au dĂ©but de mes grossesses Toi tu peux partir en courant si tu veux, moi pas ! » Vous aurez compris que ce billet nâa pas la prĂ©tention de vous donner la recette magique du moment idĂ©al pour procrĂ©er, au contraire. Ce billet est davantage un hymne Ă la vie et Ă ses surprises quâelle nous impose. Dans la derniĂšre annĂ©e, jâai fait la rencontre de plusieurs histoires de grossesses surprises, toutes aussi rocambolesques les unes que les rencontrĂ© une femme qui a dĂ©couvert quâelle Ă©tait enceinte de son cinquiĂšme enfant Ă 34 semaines de grossesse ! Non, cette femme nâĂ©tait pas obĂšse, non, elle nâĂ©tait pas non plus dĂ©connectĂ©e de son corps, seulement un gentil Thomas qui lui a jouĂ© un tour. Jâai aussi eu une ancienne cliente sous le choc de dĂ©couvrir une cinquiĂšme grossesse deux ans aprĂšs la vasectomie approuvĂ©e de son mari. Et je vous Ă©pargne le bĂ©bĂ© stĂ©rilet, celui qui a persistĂ© aprĂšs la pilule de lendemain, ou celui fait pendant que madame avait ses dans la derniĂšre annĂ©e jâai compris encore plus Ă quel point on nâa pas de rĂ©el pouvoir sur les vies qui dĂ©cident de sâimplanter en nous. Entre celles qui prient tous les saints pour concevoir et celles qui deviennent enceintes par un simple regard, la vie nous rappelle que lâhumilitĂ© et la confiance sont les principales vertus pour dĂ©couvrir les surprises que nous rĂ©serve notre propre vous, vos enfants Ă©taient-ils tous planifiĂ©s ?1 HolĂ . Je suis Karine, la crĂ©atrice de tout ce qui entoure l'univers de QUANTIK MAMA. Je suis une junkie assumĂ©e de tout ce qui entoure lâenfantement. Depuis deux dĂ©cennies, jâai assistĂ© Ă des centaines de naissances, principalement Ă domicile, mais aussi en maison de naissance. Dâabord en tant que doula, puis comme sage-femme pendant prĂšs de dix ans. En 2020, j'ai pris la dĂ©cision de quitter mon titre de sage-femme pour briller sans compromis ma mission de blogueuse et de facilitatrice pour la naissance entre science et sacrĂ©. Je vis avec ma famille entre la jungle du Costa Rica et le QuĂ©bec, oĂč nous allons de moins en moins. Je suis aussi la co-fondatrice de l'Ăcole Quantik Doula et la podcaster de la chaĂźne Tisser l'invisible. C'est un honneur de vous recevoir dans mon humble dimension! Kxx Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire le pourriel. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es. Page load link Aller en haut de la page
Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. va tu vers lui ou attent tu qu il vienne vers toi? J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? Il est peut-ĂȘtre pas trop portĂ© sur la chose..ben oui, y a des hommes aussi. J'aime il faut prendre un amant lol J'aime T'es peut ĂȘtre pas son type de femme.. J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? femme est exactement comme ton homme. Elle peut se passer carrĂ©ment de sexe, ça ne lui manque pas. Et oui, il y a des hommes qui sont comme ça aussi. C'est terriblement frustrant et de plus en plus frustrant avec le temps d'autant plus que tu es trĂšs jeune. Le pire est que les envies sexuelles de ton homme n'augmenteront pas avec le temps bien au contraire. J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? Tu as eu le message en MP ? J'aime Trois points de suspension... J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? Tu devrais - sans le brusquer - aborder ouvertement la question de la frĂ©quence vos rapports. Demande lui ce qu'il aimerait pour le faire plus, ou bien ce qui le gĂȘne pour le faire si peu. Il n'y a pas de frĂ©quence idĂ©ale, mais je te confirme qu'une fois de temps en temps Ă 25 ans, c'est en dessous de la moyenne Est-ce que quand il joue Ă la console enfin quand il peut faire pause^^ et que tu le "chauffe" genre essayer de le sucer ou lui glisser Ă l'oreille que s'il fait pause alors il peut te prendre Ă 4 pattes, lĂ , de suite, comment rĂ©agit-il ?Quand vous calinez au bout de 3 semaines sans avoir rien fait? Jouit-il vite ? J'aime En rĂ©ponse Ă thesee_961648 T'es peut ĂȘtre pas son type de femme..Tu rigoles ? On vient de se marier et je ne suis pas son type de femme? je ne sais pas dans quel pays tu vis oĂč le mariage forcĂ© est llegal...ou je ne sais pas, c'est peut-ĂȘtre que tu es jaloux des autres... Tu te rĂ©jouis des malheur des autres ton commentaire n'a auncun sens 1 - J'aime En rĂ©ponse Ă alou_3579739 femme est exactement comme ton homme. Elle peut se passer carrĂ©ment de sexe, ça ne lui manque pas. Et oui, il y a des hommes qui sont comme ça aussi. C'est terriblement frustrant et de plus en plus frustrant avec le temps d'autant plus que tu es trĂšs jeune. Le pire est que les envies sexuelles de ton homme n'augmenteront pas avec le temps bien au contraire. Hello ! dĂ©solĂ©e pour la rĂ©ponse tardive...Je suis nouvelle ici. J'ai cherchĂ© mon post pendant longtemps. je l'ai pas trouvĂ©. Je viens enfin de le voir. DĂšs le dĂ©but ca Ă©tĂ© comme ça. J'en ai parlĂ© Ă une amie, elle m'a fait beaucoup post date de 5 mois..Depuis, j'ai remarquĂ© un changement. Car j'ai arrĂȘtĂ© de le chauffer, lui en parler. Mnt, ça va presque dans un seul sens. On fait l'amour que qd lui, il a envie. Avant, je lui en parlais qd je voyais qu'au bout de 3, 4 semaines il y avait rien. J'avais marre de lui dire qu'il y avait un pproblĂšme. Pour lui il avait aucun problĂšme..A chaque fois qu'on en parlait et on faisait l'amour aprĂšs. Comme si je le forcais et tt ça fait tomber tt le feeling. Je me sentais coupable c'Ă©tait frustrant. Du coup, ça me refroidissait je me resignais et je me demandais comment allait ĂȘtre ma vie...C'est beaucoup moins dur pour une femme de faire l'amour qd elle n'a pas envie car elle n'a qu'Ă ouvrir ses jambes et penser Ă autre chose. Mais pour l'homme, je ne sais pas comment vous faites. vouss avez besoin d'avoir envie pour entrer en Ă©rection J'aime En rĂ©ponse Ă guillaume7paris Tu devrais - sans le brusquer - aborder ouvertement la question de la frĂ©quence vos rapports. Demande lui ce qu'il aimerait pour le faire plus, ou bien ce qui le gĂȘne pour le faire si peu. Il n'y a pas de frĂ©quence idĂ©ale, mais je te confirme qu'une fois de temps en temps Ă 25 ans, c'est en dessous de la moyenne Est-ce que quand il joue Ă la console enfin quand il peut faire pause^^ et que tu le "chauffe" genre essayer de le sucer ou lui glisser Ă l'oreille que s'il fait pause alors il peut te prendre Ă 4 pattes, lĂ , de suite, comment rĂ©agit-il ?Quand vous calinez au bout de 3 semaines sans avoir rien fait? Jouit-il vite ?Bah qd je le chauffais... Je le dĂ©rangeais plus qu'autre chose. mnt, il y a un changement..Par ce que je baissais les bras. Il a vu que je m'en foutais ... J'avais vraiment marre du coup, je lui disais plus rien Ă propos Il a dĂ» en parler Ă quelqu'un. Il a peut-ĂȘtre pris cconscience ou peut ĂȘtre qu'il a peur de me pousser dans les bras de quelqu'un d'autre. ca m'a jamais traversĂ©e l'esprit je ne vois pas comment il aurait pu penser ça. J'aime En rĂ©ponse Ă rozen_2967230 il faut prendre un amant lol Super conseil ! Pi aprĂšs on divorce ?Je brise mon foyer ? J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Hello ! dĂ©solĂ©e pour la rĂ©ponse tardive...Je suis nouvelle ici. J'ai cherchĂ© mon post pendant longtemps. je l'ai pas trouvĂ©. Je viens enfin de le voir. DĂšs le dĂ©but ca Ă©tĂ© comme ça. J'en ai parlĂ© Ă une amie, elle m'a fait beaucoup post date de 5 mois..Depuis, j'ai remarquĂ© un changement. Car j'ai arrĂȘtĂ© de le chauffer, lui en parler. Mnt, ça va presque dans un seul sens. On fait l'amour que qd lui, il a envie. Avant, je lui en parlais qd je voyais qu'au bout de 3, 4 semaines il y avait rien. J'avais marre de lui dire qu'il y avait un pproblĂšme. Pour lui il avait aucun problĂšme..A chaque fois qu'on en parlait et on faisait l'amour aprĂšs. Comme si je le forcais et tt ça fait tomber tt le feeling. Je me sentais coupable c'Ă©tait frustrant. Du coup, ça me refroidissait je me resignais et je me demandais comment allait ĂȘtre ma vie...C'est beaucoup moins dur pour une femme de faire l'amour qd elle n'a pas envie car elle n'a qu'Ă ouvrir ses jambes et penser Ă autre chose. Mais pour l'homme, je ne sais pas comment vous faites. vouss avez besoin d'avoir envie pour entrer en Ă©rectionJ'avoue que je n'ai jamais compris le cas de ces hommes dotĂ©s d'une faible libido et d'une faible envie, surtout aussi jeune que ton mari Qu'on rencontre des soucis plus tard est dans l'ordre des choses hĂ©las pour beaucoup d'entre nous, lĂ j'avais une copine qui me reprochait de ne pas lui faire l'amour 2 fois dans la soirĂ©e d'affilĂ©e pour dire J'aime En rĂ©ponse Ă lebourbonnais03 J'avoue que je n'ai jamais compris le cas de ces hommes dotĂ©s d'une faible libido et d'une faible envie, surtout aussi jeune que ton mari Qu'on rencontre des soucis plus tard est dans l'ordre des choses hĂ©las pour beaucoup d'entre nous, lĂ j'avais une copine qui me reprochait de ne pas lui faire l'amour 2 fois dans la soirĂ©e d'affilĂ©e pour dire Deux fois dans la mĂȘme SOIREE..CĂąlin matinal et cĂąlin au couchĂ©e ok. Mais deux heures aprĂšs, elle a de l'appĂ©tit. đ
Tant mieux pour elle... Du moment que c'est pas excessif dans ce cas elle serait nympho... 1 - J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Tu rigoles ? On vient de se marier et je ne suis pas son type de femme? je ne sais pas dans quel pays tu vis oĂč le mariage forcĂ© est llegal...ou je ne sais pas, c'est peut-ĂȘtre que tu es jaloux des autres... Tu te rĂ©jouis des malheur des autres ton commentaire n'a auncun sensJe suis dâaccord avec toi!Ce mec revient toujours au physique de la femme dĂšs quâil problĂšme de J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 Bonjour tout le monde, Aujourd'hui, je me tourne vers vous pour connaĂźtre votre avis, pour savoir s'il y a parmis vous qui sont dans cette situation on est mariĂ© depuis un an et on a un petit et je constate que faire l'amour l'intĂ©resse peu pour ne pas dire pas trop. En gĂ©nĂ©ral, on a 1 accouplement la semaine. C'est pas une question de durĂ©e , mais de frĂ©quence. Et le moindre truc, on reste 4 semaines sans rien faire. đGenre du monde Ă la maison, de la fatigue ... J'ai l'impression qu'il y a toutes sortes si je peux dire d'excuses. Je lui ai dĂ©jĂ parlĂ© sĂ©rieusement deux fois, tt ce que je rĂ©colte, c'est un sentiment de culpabilitĂ©. Ăa commence vraiment Ă devenir frustrant tout suis pas quelqu'un de chaude, Je me suis rĂ©signĂ©e Ă 1 fois la semaine, et je m'Ă©tais dit que mais bon. et qd je vois que ça saute jusqu'Ă 3 Ă 4 semaines sans problĂšme. Je suis pas vilaine, c'est pas pour me venter. Si j'Ă©tais moche, il serait pardonnĂ©. Lol Je me pose vraiment des questions c'est pas normal. Il me trompe pas, c'est sĂ»r. Enfin, j'espĂšre. Je soupçonne qu'il prend des pilules pour la libido quad il a le temps d'aller chez le mĂ©decin Ă l'occasion Je veux surtout pas lui poser cette question'. On a Ă peine 25 ans, je me dis Ă 40 ans qu'est ce que ça va donner. On vit comme des vieux de 70 ans. Il fait que jouer Ă la console... Je suis entrain de rĂ©aliser que je passe Ă cĂŽtĂ© de ma jeunesse. đ c'est frustrant tt en a dĂ©jĂ parlĂ© deux fois, j'ai pas envie de passer pour une mĂ©chante. Pourtant, il est affectueux, nous nous aimons. je ne comprends pas. Est ce que c'est moi qui ai un problĂšme ? 2 fois en moyenne le mois pour des jeunes trouvez vous que c'est normal ? Tu es une arabe? Ton marie aussi ? J'aime L'Ăąge en gĂ©nĂ©ral en est pour quelque chose. La femme qui arrive Ă la mĂ©nopause... pour les hommes, je sais pas, mais la libido ça baisse chez vousbeaucoup plus tard comparer aux mari, j'avais l'impression qu'il s'en foutait complĂštement par moment. J'aime Mais avant de vous marier, c'Ă©tait comment ? J'aime En rĂ©ponse Ă hawai_64936 Je suis dâaccord avec toi!Ce mec revient toujours au physique de la femme dĂšs quâil problĂšme de mec"..tu sais ce qu'il te dit.. J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 L'Ăąge en gĂ©nĂ©ral en est pour quelque chose. La femme qui arrive Ă la mĂ©nopause... pour les hommes, je sais pas, mais la libido ça baisse chez vousbeaucoup plus tard comparer aux mari, j'avais l'impression qu'il s'en foutait complĂštement par moyenne les hommes ont une envie sexuelle trĂšs forte vers la vingtaine, elle diminue ensuite lĂ©gĂšrement puis plus nettement vers la cinquantaine J'Ă©cris bien en moyenne !! Car il y a de trĂšs larges exceptions tu en sais quelque chose Chez les femmes le pic d'envie de sexe se situe vers 38/40 ans toujours en moyenne, en revanche cette histoire de mĂ©nopause qui verrait votre sexualitĂ© diminuer fortement mesdames relĂšve d'une idĂ©e reçue J'aime En rĂ©ponse Ă julia_4393291 L'Ăąge en gĂ©nĂ©ral en est pour quelque chose. La femme qui arrive Ă la mĂ©nopause... pour les hommes, je sais pas, mais la libido ça baisse chez vousbeaucoup plus tard comparer aux mari, j'avais l'impression qu'il s'en foutait complĂštement par soi j'accepte soi je le quitte. Super constructif ! Personne n'a jamais parlĂ© de forcer l'autre... Je vois pas oĂč tu veux en venir. Si une femme dĂ©cide de s'ouvrir Ă son homme malgrĂ© qu'elle ne brĂ»le pas d'envie Ă ce moment lĂ ,elle le fait pas par obligation mais par amour. Vous arrĂȘtez d'ĂȘtre Ă©goĂŻstes. La vie Ă deux, le mariage, c'est pas que son bonheur qui compte. J'aime Quand je dis que c'est pas que son bonheur qui compte, je veux dire le bonheur des deux personnes qui composent le couple. J'aime Combien d'hommes ici qui a subi un viol i?Levez la homme peut pas se faire violer plus prĂ©cisĂ©ment pĂ©nĂ©trer par une femme si ce n'est que des attouchements sexuels ou si elle utilise des objets sexuels dans son homme peut se faire violer par un autre homme par Ă la femmeUn homme pour qqu'il ait Ă©rection, il faut avoir envie. Alors que la femme qu'elle veuille ou non une pĂ©nĂ©tration de force peut avoir nature est injuste ! J'aime Qui a parlĂ© de mettre la pression ?lisez avant de rĂ©pondre s'il vous plaĂźt !tout en haut c'est Ă©crit '' j'essaie de lui en parler'' et j'ai arrĂȘtĂ© toute discussion concernant ce sujet. De plus, j'attendais qd mĂȘme 4 semaines avant d'aborder le ne vois pas oĂč tu as vu que je forcais J'aime Si ce forum pouvait faire le tri ce serait super ! je vais ĂȘtre obligĂ©e de fermer la discussion. Vous prenez pas le temps de lire et repondez n'importe d'abord avant de inadmissible ! J'aime
Idalie de BeauharnaisComtesseSujet Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Mer 14 Oct 2020 - 135 25 octobre 1166DĂ©but de la nuitLe silence rĂ©gnait depuis au moins une bonne heure dans le manoir, uniquement perturbĂ© par le crĂ©pitement des flammes qui rĂ©chauffaient les lieux et par les ronflements particuliĂšrement sonores qu'Ă©mettait un sergent fort fatiguĂ©. Tout le monde dormait Ă poings fermĂ©s. Ou sa chambre, Idalie Ă©tait bien Ă©veillĂ©e. Assise sur son lit, elle contemplait les lueurs rougeoyantes du foyer, tentant tant bien que mal de ne pas fixer sa porte entrouverte ou de ne pas sursauter au moindre bruit lui paraissant inhabituel. Nerveuse, elle jouait avec ses mains, lissant parfois le tissu de l'Ă©lĂ©gant peignoir qu'elle portait par-dessus sa robe de nuit. C'Ă©tait de la folie. Elle aurait dĂ» refuser. Les jeunes femmes de bonne famille n'accueillaient pas leur futur Ă©poux dans leur chambre au beau milieu de la nuit, mĂȘme pour discuter, mĂȘme pour quelques baisers innocent, mĂȘme si elles en avaient terriblement envie. Elle devrait fermer sa porte pour indiquer Ă Aymeric de ne pas entrer. C'Ă©tait trop risquĂ©. Idalie ne bougea pas d'un jeune femme se mordit la lĂšvre infĂ©rieure, puis expira longuement en levant la tĂȘte vers le plafond. Elle voulait partager un moment seule Ă seul avec Aymeric avant de l'Ă©pouser, elle souhaitait apprendre Ă la connaĂźtre loin des yeux et des regards des autres. Dans l'intimitĂ© de cette chambre, ils auraient la possibilitĂ© de se dĂ©couvrir avant d'unir leurs vies, de se confier leurs apprĂ©hensions, leurs dĂ©sirs et leurs attentes. Ils n'auraient que quelques heures, mais c'Ă©tait bien plus que ce que pouvaient espĂ©rer la plupart des futurs mariĂ©s moins aventureux. C'Ă©tait, cependant, un risque. Un risque Ă prendre...Perdue dans son observation des ombres qui dansaient sur le plafond, Idalie tressaillit en entendant la porte grincer, puis s'ouvrir avant de se refermer doucement et d'ĂȘtre verrouillĂ©e. La noble se leva, s'approchant de la silhouette d'Aymeric, qui sortit finalement de la pĂ©nombre pour se dessiner dans la lumiĂšre tamisĂ©e des flammes. Les mains jointes devant elle, Idalie s'arrĂȘta Ă quelques pas du comte dans la piĂšce. Elle le regarda, puis lui sourit et baissa briĂšvement les yeux avec timiditĂ© avant de les relever sur lui. Bonsoir, Aymeric », chuchota-t-elle, n'osant pas parler Ă voix replaça avec une certaine fĂ©brilitĂ© une mĂšche de cheveux qui refusait de s'intĂ©grer Ă la longue tresse rĂ©alisĂ©e par Ilda pour retenir une criniĂšre plus sauvage que les chignons laissaient entrevoir. Pour une Ă©niĂšme fois, elle passa sa main sur le tissu de son peignoir, non sans replacer un pan de sa robe de nuit blanche derriĂšre le vĂȘtement. Je... Est-ce que vous... Enfin, aimerais-tu t'asseoir? », demanda-t-elle en dĂ©signant d'un geste un petit canapĂ© oĂč ils pourraient prendre place tous les deux. Ătait-ce une question ridicule? Oui, c'Ă©tait idiot, ils n'allaient pas rester plantĂ©s au beau milieu de la chambre pour discuter... Je suis dĂ©solĂ©e, poursuivit-elle tout bas. Je n'ai guĂšre l'habitude des situations de ce genre et je suis quelque peu nerveuse. Mais je suis heureuse de te voir... »Idalie rĂ©duisit la distance entre elle et Aymeric en s'avançant, puis se saisit dĂ©licatement de la main de son futur mari, comme pour appuyer ses paroles. J'ignorais si je devais prĂ©parer quelque chose, j'ai demandĂ© Ă Ilda une infusion avant qu'elle me quitte, mais elle doit ĂȘtre plutĂŽt froide maintenant et je n'ai pas osĂ© sortir de crainte d'attirer l'attention. » Aymeric de BeauharnaisComteSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Dim 18 Oct 2020 - 1143 Tiens, ça faisait un moment qu'il n'avait pas Ă©tĂ© aussi nerveux. Depuis qu'il a demandĂ© Idalie en mariage, tiens, s'il faut ĂȘtre prĂ©cis. Et la configuration actuelle n'est pas pour l'aider Ă retrouver son calme. Oh, certes, on pourrait imaginer que retrouver sa fiancĂ©e peu avant le mariage, la nuit, alors qu'elle lui a demandĂ© de ne pas brusquer les choses et d'attendre la nuit de noces ne doit pas aider quand on ne fait que rĂȘver Ă ce moment oĂč ils verront le loup, mais non, c'est encore plus simple que cela. Aymeric est un solitaire et il se sociabilise. Faute de choix avec sa fille qui a besoin de lui et n'a pas de mĂšre, faute de choix encore en raison de son statut qui fait qu'on l'interpelle souvent, c'est qu'ĂȘtre Comte confĂšre une certaine visibilitĂ©, mais surtout parce que depuis la veille vivent ici beaucoup trop de gens. Outre sa fille et son personnel Ă lui sont venus s'ajouter Idalie et son personnel Ă elle, le frĂšre d'Idalie qui paraĂźt heureux comme tout entourĂ© d'animaux, c'est clair qu'ils se ressemblent, et Apolline et son personnel. Ce qui fait, en gros, que le domaine oĂč il vivait quasi seul, ajoutons forcĂ©ment Alix, Guillaume et l'Ă©rudite, est devenu un hĂŽtel frĂ©quentĂ©. Et comble du bonheur, la Comtesse Apolline de Pessan en profite pour l'interroger sur les affaires et les projets, avec des chiffres, des explications, le pourquoi de ses choix et aussi des rĂ©flexions sur les jeux de cour, les intrigues, bref, tout ce qui fiche un mal de crĂąne Ă notre stoĂŻque sans surprise, du moins pour Alix qui commence Ă connaĂźtre l'animal, que le Comte a "fui" en journĂ©e pour aller chasser et qu'il a poliment refusĂ© que Zephyr l'accompagne, sous prĂ©texte qu'il est plus Ă l'aise seul. Et il est revenu avec du gibier, ce qui garantit un chouette repas pour le lendemain. C'est que du canard, ça ne se mange pas tous les jours. Aymeric est un chasseur Ă©mĂ©rite mais, et il le reconnaĂźtra lui-mĂȘme, trouver du gibier est Ă la portĂ©e du premier imbĂ©cile venu tant le gibier pullule. Et le gibier pullule parce qu'il faut avoir un solide grain que pour oser sortir pour chasser, alors que la Fange existe. Mais Aymeric prĂ©fĂšre affronter la Fange que la foule. Fut une Ă©poque, avant la Fange, ou chasseurs officiels et contrebandiers luttaient pour trouver une proie et dĂ©sormais, le gibier est surpris de croiser un chasseur. Les choses ont changĂ© tellement vite...AprĂšs avoir retrouvĂ© l'air pur, la solitude et l'excitation de la chasse, Aymeric a l'esprit plus clair et il a bien failli s'endormir. Sauf qu'il n'a pas oubliĂ© qu'il allait rejoindre bientĂŽt Idalie. Et lĂ , le cerveau s'est mis en branle. Alors, certes, il faut la prĂ©server, donc faire qu'elle reste vierge pour la nuit de noces. Mais voilĂ , aux yeux des Trois, oĂč est la limite. Peut-il la toucher, lui prendre la main ? L'embrasser ? sur la joue ou les lĂšvres ? Ailleurs ? A qui pouvait-il poser la question ? La voir dĂ©nudĂ©e avant le mariage est-il une faute ? S'ils ne se touchent pas, peuvent-ils se regarder ? Et d'autres questions qui feraient rougir mĂȘme une veuve, donc qui a connu le loup. Et forcĂ©ment, en s'interrogeant, il l'a imaginĂ©e. Et forcĂ©ment, cerveau embrumĂ© par ces questions, le sommeil est passĂ©. Et la maisonnĂ©e lui semble dĂ©sormais suffisamment silencieuse et les gens suffisamment endormis, surtout Zephyr, pour qu'Aymeric rejoigne constat et dĂ©ception. Outre sa robe de nuit, Idalie porte un peignoir pour lui tenir chaud. Il avait Ă©tĂ© clair, pourtant. Mais c'est un sourire qui accompagne ce constat, Idalie est prude. Ou timide. Ou frileuse. Ou les trois, d'ailleurs. Et alors qu'elle lui parle, il ajoute deux bĂ»ches dans l'Ăątre. Lui aussi a un peignoir, et un caleçon long, pour ce qu'on peut en voir. Mais il avait un couloir froid Ă traverser et claquer des dents n'aurait pas Ă©tĂ© de prime Bonsoir !Chuchote-t-il enfin en fermant et verrouillant la porte, puis en faisant signe Ă Idalie de s'asseoir sur le canapĂ©, non loin du feu. Il l'y rejoint, pose une main sur sa nuque et l'embrasse, d'un baiser pas chaste du tout, laissant sa main vagabonder sur son dos Ă elle. Et si elle n'avait Ă©tĂ© assise, possible qu'elles soient parties Ă la dĂ©couverte de son fessier. Il Ă©tait donc prudent de l' Si je ne vous avais embrassĂ©e, je n'aurais songĂ© qu'Ă cela et il fallait que je puisse revenir Ă de meilleures dispositions. J'aimerais vous connaĂźtre sans chignon. De nuit, cela ne semble pas ĂȘtre une demande trop... excentrique !Il se recule, il lui a promis qu'il n'Ă©tait pas venu pour la bagatelle mais pour qu'ils se dĂ©couvrent et il y a des choses qui peuvent se dire maintenant et qu'il ne dira pas devant un chaperon ou un Hier, vous m'avez confiĂ© vouloir que les Trois bĂ©nissent notre union pour qu'une flopĂ©e de gamins s'Ă©gaillent dans cette maison. Et ne doutez pas un seul instant que je puisse imaginer que vous ne soyez pas une maman fantastique et pleine d'amour pour ses enfants. Et ne doutez pas que je serai ravi d'avoir un ou plusieurs hĂ©ritiers, puis d'autres Alix, que j'aurais la chance de connaĂźtre depuis tout petit. Mais...Tiens, il a cru que ce serait plus facile...- Je vous ai dit aussi que je voulais vous Ă©pouser mĂȘme si vous ne pouviez me donner un hĂ©ritier et cela reste vrai. Pas que je veuille vous priver de ce bonheur. Mais j'aurais moins peur. Vous l'ignorez peut-ĂȘtre, ou peut-ĂȘtre pas, d'ailleurs, mais ma mĂšre est morte en me mettant au monde et que je le veuille ou non, cela m'a profondĂ©ment marquĂ© et me marque encore. D'autant plus que mon Ă©pouse est morte aussi alors qu'elle Ă©tait sur le point d'accoucher. Elle a fui le domicile conjugal et a disparu, difficile de dire si sa mort est liĂ©e Ă l'accouchement ou Ă la folie qui parfois s'empare des femmes colĂšres lĂ©gendaires, des sautes d'humeur, un besoin irrationnel de protection avant un rejet total du compagnon, certaines femmes passent par ça et feue son ex Ă©pouse n'Ă©tait pas trĂšs saine Je suis nĂ© chĂ©tif Ă©galement, les soigneurs de l'Ă©poque estimaient que je ne pourrais pas survivre. Ma respiration Ă©tait difficile et j'ai Ă©tĂ© sujet Ă des fiĂšvres et des fluxions de poitrine durant mes premiĂšres annĂ©es, ce qui fait qu'on m'a gardĂ© enfermĂ© un long moment. Mes sorties se faisaient lors des chaleurs estivales, mais pas trop longtemps et j'ai vĂ©cu longtemps dans des piĂšces, un peu comme celles-ci, surchauffĂ©es. Autant dire que quand en grandissant j'ai recouvert mes forces, ma seule idĂ©e Ă©tait de courir dehors. Mon amour de la nature et des espaces verts vient de lĂ . Je voyais un monde inaccessible par les fenĂȘtres et pouvoir le rejoindre m'a libĂ©rĂ©. L'absence est Ă l'amour ce qu'est le feu au vent, il Ă©teint le petit et agrandi le a des Ă©tincelles en lui contant cela et Idalie pourra le rĂ©aliser, quand il lui a dit qu'il voulait partager une intimitĂ© avec elle, il parlait bien de secrets maritaux et pas juste de sexualitĂ©, mĂȘme si le sujet sera certainement Pendant ces mois de convalescence oĂč je suis restĂ© cloĂźtrĂ©, mon pĂšre, qui me reprochait la mort de ma mĂšre, n'est quasi jamais venu me voir, ou par obligation. C'Ă©tait un homme qui ne montrait pas vraiment son affection, pas mĂȘme envers mon aĂźnĂ©, mon jumeau, bien mieux nĂ© physiquement que moi. Adulte, il Ă©tait solide comme un ours en pleine possession de ses moyens et petit il surclassait des enfants plus ĂągĂ©s que lui. Alors que moi, dĂ©sormais, ne suis juste que dans la moyenne basse sur le plan physique. Je ne suis plus rachitique, mais je reste fin et petit pour un homme. Notez, je ne m'en plains pas, la force n'est pas la seule qualitĂ© qui dĂ©finit un homme. Je mise sur ma souplesse et mon agilitĂ©, ma discrĂ©tion aussi. Et je peux botter le cul d'un il se sent viril et n'a fonciĂšrement pas Ă en douter. D'ailleurs, il la regarde Ă nouveau juste sous les yeux, mais finit par renoncer Ă l'embrasser, pour reprendre son Quand comme moi on a grandi en solitaire, avec un pĂšre qui n'Ă©duquait que son frĂšre, laissant Ă son cadet les restes, cadet qui par ailleurs ne vouait pas un amour immodĂ©rĂ© pour la lecture, on finit par aimer la solitude. Alors, quand on "propose" Ă un solitaire amoureux des forĂȘts de devenir un prĂȘtre cloĂźtrer dans un Temple, il ne faut pas s'Ă©tonner que ledit solitaire rejette la proposition. PrĂȘtre est une magnifique vocation, prestigieuse et si un de nos enfants souhaite le devenir je l'y encouragerai, mais clairement, cela ne remplissait pas mes aspirations. Et devant mon refus, conseillĂ© en cela par un Ă©rudit, mon paternel a dĂ©cidĂ© de me retirer mes privilĂšges de noble et de faire de moi son laquais. Convaincu que la condition d'un homme du peuple me ramĂšnerait vers le droit chemin et me ferait rĂ©aliser que finalement, prĂȘtre, c'Ă©tait pas mal, j'ai Ă©tĂ© confiĂ© au palefrenier de mon pĂšre, qui Ă©tait aussi son ami car ils avaient le mĂȘme Ăąge et une passion pour les chevaux de combat Guillaume, que vous avez vu en venant. C'est lui qui conduisait la intĂ©ressant, puis Guillaume a l'art de faire bonne impression. DĂ©but cinquantaine mais toujours bon pied bon oeil, amoureux des chevaux dont il s'occupe merveilleusement bien, discret et compĂ©tent, puis naturellement bienveillant, les gens l'aiment bien, naturellement. MĂȘme Mathilde l'a apprĂ©ciĂ© de suite, reconnaissant en lui les valeurs des hommes de la terre. C'est un Ă©leveur, un dresseur de chevaux et il ne s'est jamais reniĂ©. C'est d'ailleurs le seul "employĂ© de maison" au service de son pĂšre qu'Aymeric a repris Ă son service dĂšs qu'il est officiellement devenu l'hĂ©ritier. L'autre, c'est le forgeron, qu'Aymeric ne connaissait pas mais qui lui est immĂ©diatement apparu comme trĂšs Mais Ă la surprise gĂ©nĂ©rale, la mienne incluse, ĂȘtre laquais m'a plu. S'occuper des animaux, se dĂ©penser, faire briquer des armes, apprendre l'arc, nettoyer une armure, ben, j'ai adorĂ©. Le paternel a bien songĂ© Ă me faire entrer dans les ordres par la force, mais quelqu'un d'avisĂ© lui a fait remarquĂ© qu'un cadet officier archer pouvait avoir grand intĂ©rĂȘt, soit pour la guerre, soit pour Ă©pouser la fille d'un vassal ou d'un alliĂ© et agrandir les possessions de la maison et le paternel a fini par me laisser apprendre le mĂ©tier. D'abord palefrenier, car il ne tenait plus Ă m'avoir dans les pattes, ensuite officier archer. J'ai fini par apprendre la chasse aussi, avant de partir chasser seul pour nourrir mes collĂšgues ouvriers travaillant pour le Comte. Je ne me voyais plus comme "fils du Comte" et les autres non plus, vu qu'on pouvait me donner des ordres sans que je ne m'en offusque, mais je conservais quelques privilĂšges, sans mĂȘme le rĂ©aliser. Entre autre le fait que je n'Ă©tais pas considĂ©rĂ© comme un braconnier, mĂȘme si dans les faits je l' sourire, qui fait qu'on peut comprendre que la relation avec son pĂšre Ă©tait plus ambiguĂ« qu'elle ne semblait l'ĂȘtre au Je n'ai appris qu'Ă sa mort, et pas par lui, que mon pĂšre Ă©tait fier de ce que j'Ă©tais en train de devenir et qu'on partageait des valeurs proches, dont le respect de la terre et du travail bien fait. Je n'Ă©tais pas pĂ©dant, lui non plus, amoureux de la nature, plutĂŽt droit comme garçon. On ne m'a pas surpris Ă voler, tricher ou mendier. Ma gamelle, je la mĂ©ritais. Puis vint l'Ă©poque oĂč les choses sont rentrĂ©es un peu dans l'ordre, j'ai pu rejoindre une chambre dans la maison, car de palefrenier, on allait m'apprendre le mĂ©tier d'officier. Mon aĂźnĂ© n'Ă©tait pas ravi de ma "promotion" et m'a cherchĂ© noise. Vu nos gabarits, au dĂ©but il m'a dominĂ© et cela lui suffisait. Il prouvait qu'il Ă©tait l'hĂ©ritier. Sauf que j'ai appris qu'avec une brute, il fallait rester hors de distance de ses bras, qu'une fois capturĂ© la cause Ă©tait perdue, et j'ai appris le combat par l'Ă©quilibre, l'esquive, moins chevaleresque, sans armure, en lĂ©gĂ©retĂ© et j'ai pris l'ascendant un soir, ce qui l'a mis en colĂšre. La nuit, il m'a surpris dans mon sommeil et a pris une dague pour me crever un Ćil. Avec un seul Ćil, plus d'archer. Un rĂ©flexe salvateur et un coup dans les valseuses m'a permis de m'en sortir avec juste une profonde cicatrice sous lâĆil. Et alors que j'espĂ©rais que mon aĂźnĂ© soit sanctionnĂ©, mon pĂšre a pris parti pour lui. C'Ă©tait lui, l'hĂ©ritier. J'ai quittĂ© la maisonnĂ©e le lendemain pour rejoindre le duchĂ© du Morguestanc, le duc Ă©tant le supĂ©rieur de mon pĂšre, pour rejoindre sa milice. Je n'Ă©tais plus Aymeric de Beauharnais, cadet du Comte, mais juste Aymeric Beauharnais, adolescent et milicien archer. J'ai dĂ» faire mes armes pour ĂȘtre acceptĂ©. La suite est connue. Mais si on comprend ceci, on comprend aussi un peu qui je suis. Et finalement, officier archer, je le suis devenu, sans avoir bĂ©nĂ©ficier de mon titre, par moi-mĂȘme. Et j'ai la faiblesse de croire que j'Ă©tais perçu comme un bon doit mieux comprendre dĂ©sormais qui est son fiancĂ© et pourquoi, par exemple, il a fui la maison pour aller chasser alors qu'il y avait du monde. Et aussi pourquoi il est rustique et peu portĂ© sur les Ă©tudes ou les intrigues. Il a un sourire Qu'est-ce qui, dans votre passĂ©, explique ce que vous ĂȘtes aujourd'hui. Comment avez-vous Ă©tĂ© Ă©levĂ©e ? Pourquoi ĂȘtes-vous aussi fusionnelle avec Zephyr ? J'ai envie que vous vous dĂ©voiliez Ă moi. Et que vous ĂŽtiez ce peignoir, aussi. Il y a d'autres aspects de vous qu'il me plairait de deviner. J'ai envie de vous voir en toute simplicitĂ©, avec juste ce qu'il faut pour conserver une certaine pudeur. Mais promis, je vous Ă©couterai. Et j'aurai d'autres questions, plus... euh... comment dire... "maritales" ? N'hĂ©sitez pas Ă m'interroger, autant le faire avant d'ĂȘtre mariĂ©. Je ne veux pas que vous vous sentiez trompĂ©e sur la marchandise, si tant est que je puisse ĂȘtre considĂ©rĂ© comme tel. Mais nous allons partager, je le souhaite, de nombreuses annĂ©es, jusqu'Ă ce que la mort nous sĂ©pare. Idalie de BeauharnaisComtesseSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Lun 19 Oct 2020 - 254 Si Idalie ne savait trop comment agir dans cette situation particuliĂšre, Aymeric, lui, ne s'embarrassa d'aucune convenance, venant simplement la rejoindre sur la canapĂ© pour lui offrir un baiser passionnĂ©. Idalie fut parcourue d'un long frisson, toujours surprise par la sensation que faisait naĂźtre le contact des lĂšvres d'Aymeric contre les siennes. Dans un geste naturel, elle posa une main contre le torse de son futur Ă©poux, se laissant porter par ce baiser auquel elle songerait probablement mille et une fois lorsqu'elle se retrouverait mit fin Ă leur Ă©treinte, Idalie se recula, le rose aux joues. Elle se sentit rougir lĂ©gĂšrement davantage Ă la demande du comte, qui souhaitait la voir les cheveux libres. C'est une tresse, Messire, pas un chignon », se moqua-t-elle gentiment, ne changeant pour l'instant rien Ă sa sourit doucement Ă Aymeric, puis s'installa plus confortablement sur le canapĂ© pour l'Ă©couter, s'accoudant contre le dossier et laissant sa tĂȘte reposer contre sa main. TournĂ©e vers lui, elle ne le lĂącha pas du regard, attentive Ă chaque mot qu'il prononçait. Le comte n'avait pas perdu de temps pour entrer dans le vif du sujet, mais elle n'en Ă©tait pas gĂȘnĂ©e, ayant rapidement compris qu'Aymeric allait toujours droit au but. C'Ă©tait, Ă ses yeux, une bonne chose, en particulier en cette nuit oĂč ils ne disposaient que de quelques heures pour apprendre Ă se connaĂźtre et ĂȘtre de ses dĂ©clarations la surprirent. Avoir des hĂ©ritiers n'Ă©tait pour lui pas une prioritĂ©, et il lui avait dĂ©jĂ mentionnĂ© vouloir la garder pour Ă©pouse mĂȘme si elle s'avĂ©rait infertile. Elle Ă©tait cependant Ă©tonnĂ©e d'apprendre qu'il Ă©tait craintif Ă l'idĂ©e de la voir succomber Ă une grossesse, notamment en raison d'Ă©vĂ©nements de son passĂ©. Tout en le laissant continuer, elle posa une main rassurante contre la sienne. Elle voulait de devenir mĂšre, mais cette dĂ©cision revenait Ă Serus. Elle se sentait toutefois forte, assez pour porter les enfants de son mari. Si Serus lui accordait le bonheur d'un de plusieurs bĂ©bĂ©s, elle mettrait tout en Ćuvre pour Ă©viter le pire. Aymeric pouvait en avoir la n'avait pas menti en lui disant vouloir s'ouvrir Ă elle. Pendant les quelques minutes oĂč il parla, elle apprit Ă le voir sous un nouveau jour, le suivit au cours de sa vie d'enfant chĂ©tif et solitaire rĂȘvant du monde, d'adolescent reconverti en laquais par son propre pĂšre, de chasseur et de guerrier. Elle fut horrifiĂ©e par l'histoire se cachant derriĂšre sa cicatrice au visage et sentit la colĂšre la secouer briĂšvement en songeant que son propre frĂšre avait pu s'attaquer Ă lui ainsi. C'Ă©tait, pour elle, un acte inimaginable. Le rĂ©cit d'Aymeric terminĂ©, Idalie se vit retourner la question... et ne put s'empĂȘcher de rire tout bas quand il lui reprocha le port de son peignoir, puis lui donna la permission de lui poser des questions d'ordre plus maritale ». Je crois que j'aurai des questions, oui, dit-elle tout bas. Je sais certaines choses, Ă©videmment, mais... je veux vous plaire. Je souhaite que nous soyons bien ensemble, que ce soit lorsque nous sommes en famille, avec Aix, ou lorsque nous nous retrouvons tous les deux. »Idalie baissa les yeux avec timiditĂ©, puis les releva sur Aymeric. Elle lui sourit et, aprĂšs une courte pause, dit finalement Une chose Ă la fois. »Sur ces mots, elle consentit Ă dĂ©nouer sa tresse et Ă libĂ©rer ses cheveux, qui tombĂšrent alors en longues cascades dans son dos. Ainsi dĂ©tachĂ©s, ils lui donnaient un air indomptable difficile Ă soupçonner derriĂšre les chignons soignĂ©s qu'elle arborait normalement. Par rĂ©flexe, elle replaça quelques mĂšches, tentant de ne pas trop se montrer intimidĂ©e, de se dire que ce n'Ă©tait pas pire que de se laver les cheveux devant de parfaits inconnus aux thermes. En fait, si, c'Ă©tait pire, car elle voulait plaire Ă Aymeric. Elle voulait qu'il la trouve jolie, mĂȘme lorsqu'elle ne portait pas de belles parures ou que sa coiffure n'Ă©tait pas soignĂ©e. MĂȘme s'ils allaient se marier, elle ne pouvait s'empĂȘcher de se sentir habitĂ©e par la crainte de ne pas ĂȘtre assez pour lui, par la peur qu'il se dĂ©tourne d'elle pour s'enticher d'une femme plus belle ou expĂ©rimentĂ©e. Elle avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© abandonnĂ©e pour une autre par le passĂ©, aprĂšs tout... J'ai Ă©tĂ© Ă©levĂ©e Ă Auvray, en campagne, commença-t-elle, ne retirant pas son peignoir dans l'immĂ©diat, connaissant assez les hommes pour savoir qu'il ne serait pas totalement attentif si elle le faisait. Je suis la plus jeune de quatre, mes frĂšres, Zephyr et Ulrich, Ă©tant nĂ©s treize ans avant moi et ma sĆur, Gracianne, ayant deux ans d'Ă©cart avec moi. J'ai grandi dans une famille trĂšs unie malgrĂ© ces Ă©carts d'Ăąge. Mes parents Ă©taient stricts, mais bienveillants. J'ai eu beaucoup de chance. »Idalie sourit avec une certaine nostalgie. Ătre au Labret, loin de la ville, lui rappelait, malgrĂ© l'omniprĂ©sence de la Fange, cette enfance et cette vie qui lui semblaient maintenant bien lointaines. J'Ă©tais destinĂ©e Ă rejoindre la cour royale, vous savez? dit-elle. J'ai reçu toute l'Ă©ducation nĂ©cessaire pour intĂ©grer les nobles adeptes d'intrigues, mais je ne me suis jamais sentie interpellĂ©e par cette vie remplie de bals, de faste, de mondains. J'ai toujours prĂ©fĂ©rĂ© la tranquillitĂ© de la campagne, la bonne humeur des villageois, les soirĂ©es simples passĂ©es Ă jouer aux cartes et Ă jouer de la musique. Gracianne, elle, rĂȘvait d'ĂȘtre une grande dame, alors nous avons dĂ©cidĂ©, avec l'accord de nos parents, d'Ă©changer nos places. Je suis restĂ©e Ă Auvray. Je sentais que c'Ă©tait ma place, d'autant plus que nous venions de perdre Ulrich Ă la guerre. Je sentais que je devais prendre soin de ma famille et des gens qui comptaient sur nous. »Idalie marqua une pause et rĂ©flĂ©chit avant de reprendre Zephyr et moi avons toujours Ă©tĂ© proches, mais je crois que notre lien s'est renforcĂ© aprĂšs la mort d'Ulrich et le dĂ©part de Gracianne. Il ne restait que nous deux et c'est en quelque sorte naturellement que nous avons commencĂ© Ă prendre soin l'un de l'autre. Notre lien est une bĂ©nĂ©diction des Trois, car j'ignore ce que j'aurais fait sans lui lorsque la Fange est arrivĂ©e. »Idalie se tut un instant, jouant lĂ©gĂšrement avec ses mains, baissant momentanĂ©ment le regard. Je culpabilise souvent d'avoir Ă©changĂ© ma place avec Gracianne, car elle aurait sans doute survĂ©cu si elle Ă©tait restĂ©e Ă Auvray avec Zephyr... Je sais que je ne pouvais prĂ©voir une telle tragĂ©die, mais je ne peux m'empĂȘcher de m'en vouloir. Il est difficile de concevoir qu'AnĂŒr a prĂ©fĂ©rĂ© la rappeler, elle plutĂŽt que moi, et qu'elle m'a mĂȘme donnĂ© une nouvelle chance Ă Marbrume. »Idalie reposa son regard dans celui d'Aymeric et expliqua L'hiver de notre arrivĂ©e entre les murs de la ville, j'ai Ă©tĂ© frappĂ©e par une violente fiĂšvre et nous avons tous cru que je ne m'en sortirais pas. AnĂŒr m'a accordĂ© sa clĂ©mence encore une fois, peut-ĂȘtre parce que Zephyr avait encore besoin de moi. Peut-ĂȘtre parce qu'elle savait que je viendrais ici, auprĂšs de vous... Je n'en sais rien. Mais je lui en suis infiniment reconnaissante. »Idalie sourit avec tendresse Ă Aymeric. Je suis une personne simple, Aymeric. J'ai besoin de peu pour ĂȘtre heureuse une famille aimante, un toit sur ma tĂȘte, un repas sur ma table. J'aime le grand air, j'aime remplir la maison de mille et un chants, j'aime apprendre et enseigner, prendre soin des autres, raconter des histoires au coin du feu, me permettre quelques espiĂšgleries. Il m'arrive de dire tout haut ce que je devrais penser tout bas lorsque je me sens en confiance, de faire de gros yeux devant une imprudence ou une blessure, de faire la tĂȘte lorsque la maison est mal entretenue. J'ignore si je le dois Ă mon passĂ©, mais je suis ainsi. Et je prie pour que cela vous plaise. »AprĂšs une courte hĂ©sitation, elle retira finalement son peignoir, sous lequel elle portait une robe de nuit blanche de bonne facture. IntimidĂ©e, elle Ă©vita un instant le regard d'Aymeric, prĂ©textant de dĂ©poser soigneusement le peignoir sur l'accoudoir prĂšs d'elle. Elle n'Ă©tait pas nue, mais elle se sentait pas moins exposĂ©e sous ce tissu qui laissait deviner ces formes qu'aucun homme n'avait rĂ©ellement vues encore. Je veux vous plaire, continua-t-elle en reportant son attention sur Aymeric, chuchotant toujours. Je veux que vous... Je veux que tu me dises Ă quoi ressemble un moment parfait avec ton Ă©pouse et pas uniquement un moment charnel, mĂȘme si... Enfin, je veux savoir ce que tu aimes de ce cĂŽtĂ© aussi, car je n'ai Ă©videmment jamais connu d'homme. »Elle se tut pour le laisser rĂ©pondre, mais ajouta au dernier moment Pourrais-je te voir aussi? Sans ton peignoir, pas... le reste, pas maintenant. » Aymeric de BeauharnaisComteSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Mar 20 Oct 2020 - 1006 Quand elle l'informe que c'est une tresse et non un chignon, Aymeric hausse les Ă©paules, indiquant par ce biais qu'il s'en fout un peu. C'est un truc de fille, ça, et lui n'aura jamais tresse ou chignon. Mais c'est le genre d'information qui pourrait plaire Ă Alix. Enfin bref, Idalie ne doit pas trop compter sur Aymeric pour avoir des avis autorisĂ©s sur les toilettes, les coupes de cheveux et autres fadaises. Sa prĂ©cĂ©dente Ă©pouse a bien tentĂ© de l'Ă©duquer en ce sens, en vain. Aymeric, en matiĂšre de vĂȘtement, aime ceux qui le laissent libre de ses mouvements et pas trop voyant. Seules ses tenues "endimanchĂ©es" sont colorĂ©es et si elles lui vont bien, Aymeric prĂ©fĂ©rera toujours les tenues qu'il porte pour aller chasser. Par contre, il soulĂšve un sourcil quand elle lui dit qu'elle sait certaines choses sur l'intimitĂ© du Je m'excuse par avance parce que je me doute que je vais vous entraĂźner sur un terrain glissant, mais nous devrons en parler de toute maniĂšre, puis cela fait partie des choses dont nous devons discuter, parce qu'entre autres je tiens Ă ce que notre nuit de noces soit rĂ©ussie. Aussi, quand vous dites que vous savez certaines choses... Que savez-vous exactement ? Et n'hĂ©sitez pas sur les dĂ©tails. Quelles choses vous attirent ou vous inquiĂštent parmi les choses que vous savez ? Et accessoirement, cela me permettra aussi de dĂ©couvrir un peu les choses que vous ignorez, j'imagine. Puis ces connaissances sont thĂ©oriques ou y-a-t-il eu une certaine pratique ? Par jeu dans l'enfance ou un garçon qui vous a plu, plus jeune ? Voire un attrait pour les femmes ? C'est le bon moment pour en parler si vous avez des attirances, nous partagerons une certaine ne lui dira pas qu'il n'a pas d'attrait pour les hommes, histoire de ne pas la bloquer si elle devait en avoir pour les femmes. Mais cela pourrait ĂȘtre plus problĂ©matique si elle n'Ă©tait attirĂ©e que par les femmes, Ă©videmment. Mais il pense que ce qu'elle lui a dit dans la taverne sur le port Ă©tait vrai. Il l'inspirait. Donc si en plus d'un attrait pour lui ou les hommes en gĂ©nĂ©ral elle a un attrait pour les femmes, ils gĂ©reront cela. Il reste coi en la dĂ©couvrant cheveux dĂ©faits et sourit - Il y a lĂ un cĂŽtĂ© plus brut, plus sauvage, on dirait une femme diffĂ©rente. Terriblement attirante aussi. Je sens qu'il me plaira de vous regarder dormir, la nuit...Les informations suivantes, Aymeric les Ă©coute religieusement. Donc, elle Ă©tait destinĂ©e Ă ĂȘtre mondaine mais se sentait plus maternelle et a pu Ă©changer sa place avec sa sĆur, qui avait, elle, des aspirations plus mondaines que familiales. Lorsqu'elle dĂ©vie sur la Fange et sur Anur, Aymeric comprend beaucoup trop Je me suis souvent posĂ© les mĂȘmes questions avec les circonstances de ma naissance, mes maladies infantiles, ma marque sous lâĆil, les hommes que j'ai perdus comme coutilier ou mon absence liĂ©e Ă une blessure lors de la reprise du Labret. Et la seule rĂ©ponse que j'ai trouvĂ©e est qu'on ne peut deviner les desseins des description du bonheur vu par Idalie convient bien Ă Aymeric, Ă un dĂ©tail Votre vision du bonheur rejoint assez la mienne, Ă un dĂ©tail prĂšs... Le chant... MĂȘme si votre voix pourra m'apparaĂźtre comme envoĂ»tante, je ne suis pas convaincu de supporter mille et un chants, tous les jours. Il y a des moments oĂč un chant pourra mâĂ©gailler le cĆur et l'esprit, il y en a d'autres oĂč cela m'insupportera. Tout comme, j'imagine, vous serez parfois ravie de me voir courir dans la maisonnĂ©e et faire l'Ă©quilibriste pour maintenir mon entraĂźnement Ă niveau, les jours de pluie et qu'un autre jour cela vous semblera insupportable. Il nous appartiendra de faire un effort, soit en stoppant nos activitĂ©s, soit en prenant sur nous. Oh, et vous aurez parfaitement le droit de me dire que je vous insupporte les jours oĂč ça arrivera. On aura chacun nos domaines de compĂ©tence et pour certains, vous serez la chef, Idalie. Juste, en public, je reste le l'a dit en haussant les Ă©paules. Il veut bien ĂȘtre moderne, il veut bien lui faire confiance, mais si on le considĂšre comme "faible", cela nuira aussi aux affaires et cela, Idalie le comprendra sans aucun doute. Quoi qu'Ă cet instant prĂ©cis oĂč il ne porte plus qu'une chemise de nuit qui laisse deviner quelques trĂ©sors appĂ©tissants, le cerveau d'Aymeric bugue. "Moment parfait, pas uniquement charnel" est Ă peu prĂšs la seule chose qu'il a Moment parfait ? Mais...Ah elle a une autre demande, que lui aussi soit en peignoir. Ce qui fait qu'elle le verra torse nu et avec un caleçon long. Il n'est pas particuliĂšrement pudique puis il sait qu'il a retrouvĂ© un beau corps athlĂ©tique depuis qu'il vit aussi. Il mange bien sans manger trop car il est vite rassasiĂ© et retaper une pareille "bicoque" l'a resculptĂ©. Mais cela suffira-t-il pour lui plaire ? Aymeric dĂ©fait son peignoir, le dĂ©pose sur le canapĂ© puis prend la main d'Idalie pour l'attirer Ă Il y a des dizaines de moments parfaits. Et on en a dĂ©jĂ vĂ©cu quelques-uns. Au bal par exemple...Et il l'entraĂźne dans un petit pas de danse, il n'a visiblement pas oubliĂ© le cours qu'elle lui a donnĂ©. Mais il interrompt la danse pour se glisser dans son dos et poser les mains sur son ventre Ă elle, l'enlaçant comme pour un Le moment qu'on partage ici est parfait ou pas loin. Et j'avoue que les gestes de tendresse, depuis que j'ai Alix, j'ai appris Ă en donner et en recevoir. Je n'avais pas connu ça avant. Cette petite m'a bondi dans les bras et j'y ai pris goĂ»t. Alors, si avec elle je n'ai que des gestes tendres, avec toi ils pourront ĂȘtre coquins...Il tire un peu sur le dĂ©colletĂ© de la chemise de nuit et Idalie pourrait imaginer qu'il regarde ses seins, mais comme il l'embrasse dans le cou au mĂȘme moment, il s'est lui-mĂȘme bouchĂ© la vue. Mais la main qui s'est posĂ©e sur la cuisse d'Idalie est belle et bien prĂ©sente, et elle commence Ă remonter, entraĂźnant la chemise avec elle...- Ou tĂ©moigner d'une envie trĂšs claire...Et il interrompt son geste, pour embrasser Ă nouveau Idalie ou niveau du cou, puis de l'Ă©paule, puis de la Et pour ce qui est du charnel, je dois encore le dĂ©couvrir... avec toi. Chaque femme que j'ai connue Ă©tait diffĂ©rente et m'offrait des moments diffĂ©rents. Il en ira de mĂȘme avec toi, surtout si on se fait confiance, comme lĂ ... Et que tu m'aides Ă te inspire profondĂ©ment, il pousserait bien son avantage, lĂ , pour la troubler plus encore et lui faire oublier ses promesses, mais il tient vraiment Ă la comprendre, Ă savoir ce qu'elle sait, ce qui l'attire, ce qui l'effraie, pour partir Ă sa conquĂȘte, la dĂ©couvrir et avoir dĂ©jĂ les pistes pour la satisfaire, et plus que cela, le soir de la nuit de noces, et les jours et annĂ©es qui suivront. Idalie de BeauharnaisComtesseSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Mer 21 Oct 2020 - 000 Aymeric posait beaucoup de questions, voulait savoir ce qu'elle connaissait de l'intimitĂ© que partageaient un homme et une femme, si elle avait dĂ©jĂ fait quelques explorations, et mĂȘme si elle avait un certain attrait pour les femmes. Elle rougit avec une certaine pudeur, quelque peu intimidĂ©e par l'abondance d'informations que lui demandait le comte. Je... J'y reviendrai sous peu, laissez-moi d'abord vous parler du reste », rĂ©clama-t-elle avant de prendre la parole pour lui rĂ©sumer son enfance et son lien avec son l'Ă©couta avec une visible attention, mĂȘme s'il ne manqua pas d'Ă©mettre un commentaire sur sa chevelue dĂ©faite â un commentaire qui Ă©veilla sa timiditĂ© tout en la ravissant. Il comprenait son sentiment concernant sa soeur et ses questionnements et semblait Ă©galement partager sa vision du quotidien... sauf qu'il ne souhaitait pas l'entendre chanter constamment. Elle pouffa face Ă cette rĂ©action inattendue, mais prit tout de mĂȘme note de prĂȘter une attention particuliĂšre Ă l'humeur d'Aymeric avant de jouer aux grandes chanteuses dans le manoir. Et je te le dirai, rĂ©pondit-elle lorsqu'il mentionna qu'elle aurait parfaitement le droit de lui dire qu'il l'insupportait aussi. Avec toute ma tendresse. Quant au reste... Je sais. »Elle sourit calmement. Elle n'avait pas l'intention de faire honte Ă Aymeric en public en s'opposant Ă lui. Elle savait comment ce monde tournait et elle savait que les hommes ne dĂ©testaient rien de plus que de voir une femme les confronter devant leurs pairs. Non, si elle voulait dire quelque chose, elle attendrait d'ĂȘtre seule avec lui, de pouvoir discuter librement avec lui. Il serait plus retira finalement son peignoir et demanda Ă Aymeric s'il pouvait faire de mĂȘme. Contrairement Ă elle, il n'hĂ©sita pas Ă se dĂ©voiler et Ă satisfaire sa curiositĂ©. Elle tenta de ne pas l'observer avec trop d'insistance â mĂȘme si elle ne lui avait pas demandĂ© d'enlever le vĂȘtement pour regarder ailleurs -, mais ne rĂ©ussit qu'Ă moitiĂ©. Il Ă©tait athlĂ©tique, taillĂ© au couteau sans ĂȘtre excessivement musclĂ©, un peu comme elle l'avait imaginĂ©... car elle l'avait imaginĂ©, oui. Ă une ou deux reprises. Au Ă©tait toute Ă sa contemplation Ă peine subtile au moment oĂč Aymeric se saisit de sa main pour l'attirer Ă lui et lui faire exĂ©cuter quelques pas de danse. Elle sourit avec bonheur en voyant qu'il n'avait pas oubliĂ© sa leçon, encore plus lorsqu'il lui avoua considĂ©rer cet instant comme Ă©tant parfait. La danse prit rapidement fin, mais il ne la quitta pas, glissant plutĂŽt dans son dos pour l'enlacer. Elle frĂ©mit, son cĆur se mettant Ă battre la chamade. Elle rata quelques mots de sa rĂ©ponse quand il laissa sa main explorer son vente, oublia qu'elle devrait probablement dire quelque chose il commença Ă embrasser son cou. Chaque contact Ă©tait nouveau et faisait naĂźtre en elle des sensations qui lui Ă©taient jusqu'ici inconnues. Je... », tenta-t-elle, le tissu de sa robe de nuit remontant contre sa cuisse avant de retomber fallait garder la tĂȘte froide, il ne devrait mĂȘme pas ĂȘtre ici avec elle, elle ne devrait pas ĂȘtre ainsi en robe de nuit devant lui et, lui, torse nu devant elle... Elle savait qu'ils devaient faire preuve de retenue, mais elle n'avait pas envie qu'il cesse de la toucher pour autant. Elle ne voulait pas aller trop loin, mais elle avait l'impression, en Ă©tant touchĂ©e ainsi, de dĂ©couvrir un monde dont elle avait Ă©tĂ© privĂ©e trop longtemps. C'Ă©tait un sentiment Ă©trange, Ă la fois agrĂ©able et qui avait pratiquement retenu son souffle, caressa du bout des doigts le bras d'Aymeric qui l'enlaçait, puis se retourna dans son Ă©treinte pour lui faire face. Elle le fixa dans les yeux, puis laissa son regard vagabonder sur ses lĂšvres et ses Ă©paules. Bien sĂ»r que je veux t'aider Ă me dĂ©couvrir, souffla-t-elle. J'aurai cependant besoin que tu me guides, que tu me dises si... enfin, ce que je fais te plaĂźt. » Aymeric de BeauharnaisComteSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Mer 28 Oct 2020 - 1540 Il l'a Ă©coutĂ©e, quasi religieusement et s'il a souri aprĂšs son lĂ©ger baiser, la phrase qui s'ensuivit n'Ă©tait sans doute pas celle qu'elle attendait - J'aime beaucoup votre maniĂšre d'ĂȘtre et de faire, mais par moment, vous ĂȘtes exaspĂ©rante, Idalie...Il lui prend les mains, les joint, Ă©met un soupir tendre et ajoute - Mais je prĂ©sume qu'on peut mettre cela sur le compte de votre inexpĂ©rience et de votre Ă©ducation. Aussi vais-je vous expliquer un peu ce que je sais, mes envies et mes attentes vous concernant. Et j'ose espĂ©rer que vous pardonnerez mes maniĂšres parfois trop militaires, mais cela fera partie des choses auxquelles il faudra vous habituer, tout comme il me faudra m'habituer Ă ce que dans l'intimitĂ© aussi, vous continuiez Ă porter un masque... Idalie de BeauharnaisComtesseSujet Re Dans l'intimitĂ© de la nuit [PV Aymeric] Mer 28 Oct 2020 - 2311 Par moments, vous ĂȘtes exaspĂ©rante, Idalie... Aymeric l'avait dit avec tendresse, en lui saisissant doucement les mains, mais Idalie fronça tout de mĂȘme lĂ©gĂšrement du nez. Encore un peu plus lorsqu'il lui dit qu'il devrait sans doute s'habituer Ă la voir porter un masque dans l'intimitĂ© Ă©galement. Ce n'Ă©tait pas ce qu'elle souhaitait, au contraire. Mais sans doute n'Ă©tait-elle pas assez franche encore, sans doute faisait-elle preuve d'une trop grande pudeur Ă ses yeux. MalgrĂ© la libertĂ© d'expression qu'il lui accordait volontiers, elle craignait encore de faire un faux pas, de dire un mot de trop qui lui coĂ»terait ce mariage et jetterait la honte sur le nom d'Auvray. C'Ă©tait probablement idiot, elle en avait conscience. C'Ă©tait cependant ce qu'elle avait, comme toute jeune femme de bonne famille, appris. Ces conventions Ă©taient maintenant un obstacle face Ă un comte non conventionnel. Aymeric de BeauharnaisComte Idalie de BeauharnaisComtesse Aymeric de BeauharnaisComte Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Quand son mari part en dĂ©placement professionnel alors quâelle est enceinte de 7 mois, Ludivine est sereine son terme est dans deux mois, elle nâest pas encore en congĂ© maternitĂ© et est mĂȘme contente de profiter dâun peu de temps seule pour prendre soin dâelle. Mais lâimprĂ©vu sâinvite le 18 novembre⊠Ludivine nous livre son tĂ©moignage touchant. Mon mari et moi sommes en couple depuis bientĂŽt dix ans, avec une vie professionnelle Ă mille Ă lâheure, nous avons pris notre temps pour avoir notre premier enfant. En 2017 nous avons dĂ©cidĂ© que nous Ă©tions prĂȘts ! Tout est allĂ© trĂšs vite, je ne pouvais pas ĂȘtre plus heureuse, la vie me donnait ce que jâespĂ©rais tant, et cerise sur le gĂąteau, sans difficultĂ©. Mon dĂ©but de grossesse a Ă©tĂ© un peu plus compliquĂ© que je ne lâavais imaginĂ© en effet il sâagissait dâune grossesse gĂ©mellaire et lâun des deux petits protĂ©gĂ©s sâen est allĂ©âŠMa grossesse sâest ensuite dĂ©roulĂ©e de maniĂšre quasi normale, jâĂ©tais malade du dĂ©but jusquâĂ la fin mais je nâavais pas de vrais problĂšmes ». Nous avions anticipĂ© le dernier dĂ©placement professionnel de mon mari Ă lâĂ©tranger au 7e mois pour, comme on se le disait, assurer le coup », au cas oĂč le bĂ©bĂ© viendrait un peu plus tĂŽt que prĂ©vu. Mais Ă©videmment, rien ne sâest dĂ©roulĂ© comme dans nos plans. Ma sĆur me conseille de me rendre aux urgences, quelle bonne blague ! »Le vendredi 18 novembre 2017, je ne suis pas encore en congĂ© maternitĂ©, je vais nager avec mon amie Marion lâaprĂšs-midi. Jâavais eu mon mari la veille au tĂ©lĂ©phone et je lui avais assurĂ© que jâĂ©tais en forme, que tout allait bien, il avait raccrochĂ© rassuré⊠Et puis le soir tombe, je suis fatiguĂ©e mais pas vraiment comme dâhabitude, je me dis que la piscine mâa vraiment Ă©puisĂ©e, et je dĂ©cide dâaller au lit un peu plus tĂŽt. Ă 21h, je suis bien au chaud sous ma couette ! Impossible de mâendormir, jâai mal au dos, je nâarrive pas Ă trouver une position confortable⊠Je me tourne, me retourne. JâĂ©cris Ă ma sĆur qui est maman deux fois pour lui dire que ce soir je ne suis pas en grande heures dĂ©filent, je me lĂšve x fois pour aller faire pipi, jâai toujours terriblement mal au dos, je mâagace me disant que mince alors jâaimerais bien dormir. Puis je me fais pipi dessus dans le lit⊠Câest le pompon ! Je continue de me plaindre Ă ma sĆur, en mode câest quand mĂȘme pĂ©nible. Son point de vue est moins terre Ă terre que le mien, elle me conseille de me rendre aux urgences. Quelle bonne blague, je suis Ă 34 semaines, nous sommes le 18 novembre et je suis censĂ©e accoucher le 10 janvier, pourquoi aller embĂȘter les urgences ». Je me convaincs que ça va passer, que je vais mâendormir. Vers minuit, les douleurs dans le dos sâintensifient. En lâabsence de mon mari, et vu que nous habitons loin de nos familles respectives, câest mon amie AnaĂŻs ma tĂ©moin de mariage qui est identifiĂ©e comme la personne Ă joindre en cas dâurgence et qui a mes clefs de maison. Cette nuit-lĂ , impossible de la joindre, je me dis que câest bien la preuve que je nâai pas besoin dâembĂȘter quelquâun en pleine nuit, ça va passer ! Le hasard fait que je reçois un sms de Marion avec qui jâĂ©tais allĂ©e nager, nous avions convenu dâun rdv le lendemain et elle mâenvoie tardivement un texto pour me le confirmer⊠Elle est donc rĂ©veillĂ©e, je saute sur lâoccasion pour lâappeler les douleurs sont de plus en plus vives et je commence Ă mâinquiĂ©ter, seule Ă la demande alors conseil Ă sa sĆur qui est gynĂ©cologue obstĂ©tricienne. La conclusion de cette derniĂšre est claire aller aux urgences au plus vite. Je ne peux pas accoucher ce soir, mon mari est Ă lâautre bout du monde ! Ȉ partir de lĂ , tout va trĂšs vite, trop vite, câest le tourbillon ! Jâai le ventre un peu serrĂ© de me remĂ©morer tout cela⊠Nous arrivons aux urgences de la clinique oĂč je suis suivie. Marion est infiniment rassurante, elle a accouchĂ© il y a deux mois jour pour jour, le 18 septembre dans ce mĂȘme Ă©tablissement, elle mâexplique posĂ©ment les choses. Une sage-femme pas vraiment aimable sâoccupe de moi et me dit posĂ©ment que je vais accoucher ce soir. Quoi ? Ce soir ? Mais câest impossible⊠Ce nâest pas le bon moment, et mon mari est Ă lâautre bout du monde ! » Je ne comprends pas tout, je pleure et nâarrive pas Ă prendre la mesure de ce que signifie cet accouchement prĂ©maturĂ©. Câest mon premier enfant, je nâavais mĂȘme pas commencĂ© les cours de prĂ©paration Ă lâaccouchement, je nâĂ©tais pas encore en congĂ© maternitĂ©, câest une sacrĂ©e sage-femme mâexplique en effet que ce mal au dos ce sont des contractions moi qui croyais que câĂ©tait dans le ventre les contractions ! et ces pipis sans cesse sont en fait une fissure de la poche des suis transfĂ©rĂ©e Ă lâhĂŽpital le plus proche, qui est un niveau 3, câest-Ă -dire disposant dâune rĂ©animation et des moyens nĂ©cessaires pour accueillir un bĂ©bĂ© nĂ© prĂ©maturĂ©ment. Par chance ce soir-lĂ , il y a de la place, je reste donc dans ma ville bien que cet hĂŽpital me soit complĂštement Ă©tranger. Je suis dans un Ă©tat second, dĂ©passĂ©e par cet accouchement surprise »Lâaccueil de lâhĂŽpital est fantastique, lâĂ©quipe de nuit est dâune gentillesse incroyable, tout va trĂšs vite, sauf la pose de la pĂ©ridurale. Ătant Ă 34 semaines, je nâai pas encore fait les examens prĂ©alables Ă la pĂ©ridurale, le temps de les faire et dâattendre le retour du labo⊠Je souffre le martyre ! Toujours dans les reins, jâai lâimpression que mon dos se brise Ă chaque contraction. Je suis dans un Ă©tat second, complĂštement dĂ©passĂ©e par cet accouchement surprise et Ă la fois extrĂȘmement accrochĂ©e au moment prĂ©sent parce que je nâarrive pas Ă joindre mon mari. Lui qui est normalement toujours joignable, cette nuit-lĂ câest mission impossible. In fineon y arrive une fois en salle dâaccouchement, je peux lui parler, il choisit le prĂ©nom parmi notre petite liste. Tout sâenchaĂźne, la pĂ©ridurale est posĂ©e trĂšs tardivement, on mâexplique quâun accouchement prĂ©maturĂ© doit ĂȘtre plus rapide pour prĂ©server le bĂ©bĂ©, jâai 20 minutes pour y arriver sinon ⊠Je ne sais pas. Je suis installĂ©e dans une immense salle, il y a plein de mĂ©decins et de personnel mĂ©dical qui sont lĂ au besoin. Marion me tient la main, avec tellement dâĂ©motion pour nous deux. Au bout de 18 minutes, la sage-femme me dit que jâai encore une seule poussĂ©e, je demande Ă ce quâon mâexplique Ă nouveau ce que je dois faire. Jâessaie dâĂȘtre hyper concentrĂ©e. Et au petit matin Hoxence est nĂ©. Il est si petit Ă mes yeux, Ă peine le temps de le sentir contre moi quâil part en soin, on mâexplique quâil est transfĂ©rĂ© en rĂ©animation pour insuffisance respiratoire. Au milieu de cette nuit de tourment, lâessentiel a Ă©tĂ© oubliĂ© ! Personne ne mâa expliquĂ© ce que signifie une naissance prĂ©maturĂ©e, câest un monde inconnu pour moi, je nâen connais pas les risques, je ne suis absolument pas prĂȘte, certes câest le principe de lâinattendu mais tout de mĂȘme. JâĂ©tais devenue maman, pas dans les conditions optimums, mais mon fils Ă©tait nĂ© »Dans la nuit, durant le travail, ma maman a pris la route, mes amies se sont relayĂ©es pour rĂ©cupĂ©rer mes affaires et sortir le chien enfermĂ© dans la maison !. Ma maman prend le relais de Marion aprĂšs la naissance dâHoxence. Le temps devient interminable, 5h dâattente en salle dâaccouchement pour recevoir les soins et me faire recoudre, sans aucune nouvelle dâHoxence. Jâai attendu plus de 5h pour le revoir, mon tout petit, comme si Ă distance mon cĆur battait dĂ©jĂ au diapason du sien, jâĂ©tais devenue maman. Pas dans les conditions optimum, mais jâĂ©tais maman, mon fils Ă©tait nĂ©. Difficile Ă rĂ©aliser. Ma maman mâa conduite sur mon fauteuil en rĂ©animation nĂ©onatale, jâai dĂ©couvert Hoxence dans une grande chambre câĂ©tait la chambre gĂ©mellaire⊠drĂŽle de hasard, son incubateur au milieu, des machines partout, des lumiĂšres, des bruits, un univers parallĂšle et quâon nâose imaginer. Les soignantes mâexpliquent que je ne peux pas le prendre, ni le caresser, quâil est trop sensible, je peux poser mon doigt sur lui simplement. Il est intubĂ©, branché⊠Nu avec sa minuscule mari rentre en France le lendemain de la naissance dâHoxence. Cela fait 2 mois que nous nous sommes vus et nous nous retrouvons lĂ , devenus parents, avec un protocole sanitaire pour quâil dĂ©couvre notre petit garçon⊠Et pourtant, malgrĂ© tout, lâĂ©motion est immense. Nous sommes submergĂ©s par cet amour inconditionnel qui nous dĂ©passe, par cette rencontre Ă cĂąlins en peau Ă peauLes jours vont dĂ©filer, un peu plus dâune semaine en rĂ©animation puis la mĂȘme chose en service de nĂ©onatologie. Hoxence progresse de jour en jour, malgrĂ© des hauts et des bas, nous sommes lĂ de lâouverture Ă la fermeture du service. Nous le cĂąlinons en peau Ă peau toute la journĂ©e, nous rencontrons des professionnels fantastiques, des filles passionnĂ©es par leur mĂ©tier dans des conditions pas toujours simples, des parents que nous croisons tous les jours au sas de dĂ©contamination » avec pour certains des histoires de vie bien plus difficiles que la nĂŽtre. Le monde de la prĂ©maturitĂ© et de la grande prĂ©maturitĂ© sâouvre peu Ă peu Ă nous. Vient le jour oĂč Hoxence sort de lâhĂŽpital, encore si fragile Ă nos yeux, il est venu lâheure de lui prĂ©senter sa maison, sa chambre notre vie normale » ensemble chance dâavoir du tempsAujourdâhui Hoxence a 13 mois, avec du recul je suis convaincue mille fois que la naissance dâHoxence dans des conditions particuliĂšres nous a offert une chance indĂ©finissable celle dâavoir le temps. Cela va peut-ĂȘtre vous faire sourire pour une naissance qui nâa pas pris son temps, mais ces deux semaines en rĂ©animation et en nĂ©onatologie nous ont donnĂ© le temps de la dĂ©couverte. Nous Ă©tions coupĂ©s de toute considĂ©ration quotidienne, nous Ă©tions dans notre bulle avec Hoxence, Ă le regarder pendant des heures, lui parler, lui raconter, le cĂąliner tout en dĂ©couvrant les premiers gestes, toutes ses petites premiĂšres fois insignifiantes pour une grossesse Ă terme mais tellement importantes pour nous. Le premier bain enveloppĂ©, le premier mini biberon, les premiers Ă©changes de regards, la premiĂšre fois que nous lâavons habillé⊠Ce sont des souvenirs qui deviennent jour aprĂšs jour notre force, malgrĂ© la douleur dâune situation imprĂ©vue et inexpliquĂ©e. Hoxence est aujourdâhui en pleine forme. Marion est devenue sa marraine, elle mâa avouĂ© avoir vĂ©cu cette nuit-lĂ des Ă©motions aussi fortes que pour son propre accouchement. Pour fĂȘter cette sacrĂ©e histoire qui nous unit, nous avons couru tous les trois mon mari, Marion et moi le marathon du MĂ©doc en septembre photo bady qb / Unsplash
Bonjour Ă tous et Ă toutes, C'est la premiĂšre fois que je post sur un forum. Alors excusez moi si le sujet a dĂ©jĂ Ă©tĂ© abordĂ© ou si je ne suis pas dans la bonne catĂ©gorie. Voici mon histoire je vais essayer de faire court $đ , je vous avouerai que me "livrer" me stress un peu, je n'ai pas pour habitude de raconter ma vie. Bon je me lance, mon mari et moi, sommes ensemble depuis 5 ans. Nous avons dĂ©butĂ© un parcourt PMA en 2011, je suis tombĂ©e enceinte en 2012 mais la grossesse s'est mal passĂ©e et j'ai fais une fausse couche. En 2014, nous avons dĂ©mĂ©nagĂ© pour acheter notre maison Ă 70 km de notre lieu d'habitation initial. J'ai dĂ©missionnĂ© de mon boulot ne voulant pas passer 4h dans les transports quotidiennement. J'ai trouvĂ© un travail Ă 5 min de chez moi dans un autre domaine, puis environ 3 mois aprĂšs, un nouveau collĂšgue a intĂ©grĂ© l'Ă©quipe. Au dĂ©but je n'y ai pas vraiment prĂȘtĂ© attention. Je parle avec tout le monde, je suis assez sociable. Les mois ont passĂ©s, une grande complicitĂ© s'est installĂ©e, nous avons quasiment le mĂȘme tempĂ©rament, calme, trĂšs dĂ©conneurs .... de cette complicitĂ© est nĂ© un jeu de sĂ©duction. Des regards, des sourires, des frĂŽlements de main, de bras et des taquineries, beaucoup de taquineries. Jusqu'au jour oĂč il m'a invitĂ© subtilement Ă boire un cafĂ© chez lui. Il est en couple depuis 2 ans, il vivait seul jusqu'Ă la fin 2015 et vient de s'installer avec sa compagne. Au mois de dĂ©cembre 2015 il m'invite, en me disant qu'ensuite ça ne sera plus possible. Quelques jours plus tard je vais chez lui, bien sur en sachant trĂšs bien que ce que je fais est mal, mais la tentation Ă©tant tellement forte .... je vais chez lui, on boit un cafĂ©, deux cafĂ©s et nous nous embrassons. Nous dĂ©cidons ensemble d'en rester lĂ mais avant de repartir chez moi, il me dis qu'il ne veut pas dĂ©truire son couple, qu'il n'aura pas de sentiments mais qu'en mĂȘme temps il ne comprend pas ce qui lui arrive. Que je lui retourne le cerveau. Je reprend mes affaires et il veut savoir ce qu'il y a dans ma tĂȘte, ce que je ressent, ce que je pense de tout ça. Etant donnĂ©e qu'il me dit qu'il n'aura jamais de sentiments, je fais la fille au cĆur de pierre. Lui disant qu'il ne saura jamais ce qu'il y a dans ma tĂȘte. Nous prenons donc la dĂ©cision d'arrĂȘter. Mais aprĂšs NoĂ«l, je vais Ă nouveau chez lui et bien Ă©videmment ça a Ă©tĂ© plus loin que la premiĂšre fois. Depuis nous entretenons une relation assez Ă©trange. Il a Ă©tĂ© clair, mais pourtant il se montre parfois jaloux. Me regarde d'une façon bizzarre. Plusieurs fois il a souhaitĂ© arrĂȘter, disant que cette relation nous mĂšnerai nul part. Il tient mais pas longtemps et fini par revenir. La mĂȘme chose se passe de mon cĂŽtĂ©, je dĂ©cide d'arrĂȘter mais le manque d'ĂȘtre contre lui rĂ©apparaĂźt sauf que je suis un peu plus attachĂ©e Ă lui que lui Ă moi. Je ne suis pas amoureuse du moins je ne le pense pas, mais c'est certain qu'il me plait. Il m'a avouĂ© qu'il ressentait une attirance mais une attirance physique et pourtant parfois j'ai l'impression qu'il y a plus. Depuis les fĂȘtes de fin d'annĂ©e, il vit avec sa compagne, et maintenant c'est lui qui vient chez moi il est venu 2 fois. Entre les 2 fois ou je suis allĂ©e chez lui et lui chez moi, nous avons eu des rapports au travail. On travail dans un magasin et le soir lorsque l'on ferme qu'Ă 2, personne ne peut venir Ă l'improviste et donc personne ne peut nous surprendre. La derniĂšre fois qu'il est venu, en fait nous Ă©tions au travail quand il m'a demandĂ© si je pouvais payer mon cafĂ©. Je lui ai dis que j'avais quelque chose Ă faire et s'il pouvait passer une demie heure aprĂšs. Il finissait Ă 12h15 et moi Ă 12h30. J'ai fais ce que j'avais Ă faire, je suis rentrĂ©e chez moi plus tĂŽt et je lui ai envoyĂ© un message pour le prĂ©venir. Il Ă©tait quasiment arrivĂ© chez lui, mais a finalement fait demi tour pour venir chez moi. Il habite Ă 20 km de ma ville. Si c'est purement sexuel, pourquoi faire demi tour alors qu'il Ă©tait arrivĂ© chez lui ? ... J'ai besoin de vos avis, de vos conseils, qu'ils fassent plaisir Ă entendre ou non. Je suis un peu perdue, je souhaiterai arrĂȘter cette relation mais en mĂȘme temps je n'en ai pas envie. J'ai de la tendresse, de l'affection pour mon mari mais parfois je me dis que je ne ressent plus rien, qu'il serait prĂ©fĂ©rable de se sĂ©parer et pourtant je me vois mal vivre sans lui. TantĂŽt j'ai des sentiments pour mon amant et tantĂŽt de l'indiffĂ©rence. Je ne comprend pas vraiment son comportement, il dit aimer et respecter sa compagne, qu'il est heureux avec elle mais pourtant l'a trompe .... En attendant de vous lire, je vous remercie pour l'attention que vous aurez portez Ă mon histoire et dĂ©solĂ©e pour le roman $đ
mon mari ne comprend pas ma fatigue grossesse